Nicolas Pays: “En termes d’intensité et de rythme, je suis à 60 ou 70 %.”

“Il était finalement le seul satisfait en fin de saison dernière. Alors qu’il tapait dans l’œil de Jean-Louis Gasset au mois de janvier lors d’un soir humiliant de Coupe de France, Nicolas Pays donnait quelques jours après un sacré virage à sa carrière. Dans les colonnes du Midi Libre, il revenait sur le changement d’entraineur survenu ces derniers mois et sur l’exercice en cours:

“Un changement d’entraineur, c’est une première pour moi et une sorte d’apprentissage du monde pro d’autant que c’est Jean-Louis (Gasset) qui m’a fait venir. Avant qu’il parte, il m’a dit que le coach Zoumana (Camara) était un bon coach. Celui-ci m’a fait comprendre qu’il appréciait mon jeu et j’ai continué à m’épanouir. Cela se passe super bien. Sans Jean-Louis, avec lequel je garde une relation, je ne serais pas là. Je suis reconnaissant pour ça et pour ce qu’il a fait dans le foot.

Quand on est joueur, si tu montres des choses sur un match, si tu ne fais pas le même le week-end suivant, les gens le remarquent. Les attentes sont permanentes, mais c’est le foot. En termes d’intensité et de rythme, je suis à 60 ou 70 %. J’ai été arrêté pendant deux à trois mois. On repart en Ligue 2, mais cela ne change rien pour moi.”

Non utilisé au Mans, lundi soir, il sera intéressant de voir son rôle lors du déplacement demain à Troyes.