[Ligue1] Le malaise des sous-traitants

Ils sont 30 000 salariés qui n’appartiennent directement aux clubs de Ligue 1 mais qui sont dépendants de leur activité. Stadiers, équipementiers des stades ou des centres de formation et bien d’autres types d’emplois. Qui aujourd’hui sont dans une situation assez précaire.

“Des pertes compléments de salaire de 600 à 800 euros pour les stadiers qui travaillent les soirs de matchs.” 

L’article du Midi Libre égrène les difficultés rencontrées par ces professions et surtout l’incertitude qui plane sur la reprise du championnat. Avec ou sans public? En août? En septembre? Des entreprises qui ont perdu 95% de leur chiffre d’affaires depuis deux mois sont aujourd’hui vraiment dans le dur.