LOSC 2-0 MHSC: Ils ont été RIDICULES !!!!!!!!!

Montpellier a sombré et l’effet Lorient n’a même pas duré une semaine. Les Pailladins sont complètement passés à côté et n’ont rien montré, oubliant leur envie au vestiaire mais aussi la paire de testicules nécessaire pour sauver le club de la descente. A l’image d’un Rolland Courbis prostré et inutile sur son banc, le MHSC a touché le fond comme jamais cette saison. Ultra inquiétant alors que deux semaines de trêve débutent. Et le départ de Rolland Courbis qui risque encore une fois d’alimenter les débats. Tant l’équipe présentée ce soir faisait peine, très peine à voir.

Mais c’est quoi cette équipe? Une armée de bûcherons pour préserver le (0-0), deux danseuses étoiles (Boudebouz et Martin) et le pauvre Camara seul coupé du monde, partant en explorateur dans les 30 mètres lillois. Rolland Courbis a beau faire avec les moyens du bord, privé de Yatabaré, Bérigaud, Sanson, Jourdren. Saihi désormais rentré dans la rubrique – bientôt unijambiste. Il n’est pas arrivé à construire au moins une formation courageuse. Comment une équipe assez valeureuse contre des Merlus pas fringants peut disparaître façon vol de la Malaysia Air Lines cinq jours plus tard? Le mystère est entier, le triangle des Bermudes pailladin.

Le plan a fonctionné pendant 42 minutes. Le temps que Skhiri tende son grand compas et que Boufal flairant le péno à plein nez ne s’effondre dans la surface. Penalty imaginaire, certes, transformé dans la foulée, mais ouverture du score tellement logique tant les Pailladins n’ont jamais existé. A l’exception des cinq premières minutes et d’une tête hors cadre de Dabo. Et seuls trois joueurs sortent du lot. Les expérimentés Hilton, Congré et Pionnier. Skhiri catastrophique symbolisant un centre de formation qui ne fournit plus un bon joueur depuis la génération Belhanda.

La seconde période est du même tonneau. Sidibé pénètre dans la défense héraultaise comme un acteur porno allemand blond à moustaches des années 80 dans le Tunnel du Mont Blanc. Skhiri ne tend plus sa jambe, et laisse filer le Lillois qui mystifie Pionnier d’une magnifique frappe enroulée. (2-0), le match est plié. Non, car Cornette provoque un penalty que Boudebouz envoie sur le poteau. Celui qu’on nous a vendu comme le Leonard de Vinci du penalty, échoue lamentablement. Déjà invisible sur le terrain, il tire sur le poteau du gardien remplaçant du LOSC.

La coupe est pleine, la colère est vive. Quelle sera l’attitude de nos dirigeants durant cette trêve internationale? Que dira Louis Nicollin? Qu’aura droit de dire Laurent Nicollin, puisque sa communication est exclusivement limitée à ce que papa lui permet de dire? Montpellier malgré un magnifique sursaut d’orgueil dimanche dernier, est retombé dans ses travers. Même Josse et Di Meco avaient de la peine à nous commenter, tellement nous étions mauvais. Et Bourg et Bresse, Le Havre, Niort qui se rapprochent.