Olivier Giroud : « Ce qui me gonfle un peu des fois, c’est la VAR »
Avant le rassemblement de l’Équipe de France, Olivier Giroud a participé à « La Boite à Questions » sur Canal+. S’il est toujours heureux de retrouver ses coéquipiers en sélection, l’ancien attaquant pailladin a également évoqué ses objectifs de buts sous le maillot tricolore, ce qu’il changerait dans le football actuel, les Jeux Olympiques ou encore son après-carrière. Toujours un plaisir à écouter.
« Je ne sais pas combien de matchs il me restera en Equipe de France, « The clock is ticking » comme on dit, mais soixante buts ce serait génial. Je pleure assez rarement, j’ai déjà pleuré devant un film, Gladiator notamment mais quand j’ai revu les images de la finale de la coupe du monde 2018 en Russie, j’étais ému.
Ce que je changerais dans le football actuel ? Pardonnez moi l’expression, ce qui me gonfle un peu des fois, c’est la VAR. Déjà ça prend du temps, on est tout le temps en train d’attendre et on arrive encore à se tromper. J’aimerais qu’on trouve le juste milieu pour retrouver un peu de spontanéité dans le jeu actuel.
Je ne suis pas le sélectionneur et je ne veux pas prendre la place de Titi. Mais les trois qu’il aimerait avoir que ce soit Grizi, Kylian ou moi, oui ce serait une bonne idée. mais est-ce-que ce sera possible, c’est une autre question ? (…) David Beckham est un exemple dans le management de sa carrière. Il a joué dans de très grands clubs et il est très bien entouré. Même dans son après-carrière, la façon dont il a géré ses relations avec ses sponsors, les marques et c’est quelqu’un qui passe bien à l’écran donc c’est un exemple.
L’Euro, oui, j’espère le ramener à la maison, en tout cas on va tout faire pour. J’ai trouvé un pied à terre à Londres, une ville qui m’est très chère, là où tous mes enfants sont nés. J’y ai beaucoup d’attaches, d’amis, d’habitudes, donc c’est une ville qui me plairait bien pour l’après carrière. »
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