Adams, Tamari, Savanier… Ils n’ont pas eu la lumière !

Les deux premiers suffisaient à fonder de petits espoirs avant cette rencontre au Parc des Princes quand le troisième a suffisamment de talent pour provoquer une étincelle dans un match quasiment injouable. En avant-match, les consultants de Prime Vidéo étaient très élogieux à l’égard de Mousa Tamari et d’Akor Adams, si on vibrait à les entendre, les compliments étaient presque trop forts alors que le PSG se présentait face à eux.

Si la première occasion aurait pu mettre en lumière Akor Adams pour sa déviation et Téji Savanier pour sa finition, là aussi, il n’en fut rien. Derrière, calme plat. Mousa Tamari aura tenté quelques incursions mais bien trop esseulé ou peu inspiré dans ses dribbles (un seul réussi), le danger est resté nul sur la cage de Donnaruma. Derrière, pour l’attaquant nigérian, le déchet technique aura été énorme et loin des attentes du niveau de la Ligue 1, on notera notamment 7 ballons perdus et seulement 1 duel gagné pour 4 disputés. S’il a pu peser sur la charnière parisienne à quelques reprises, notamment en première mi-temps, le bilan est bien trop insuffisant. L’un comme l’autre sont sortis en fin de match, probablement dans l’espoir de les préserver un peu avant la venue de Nice à la Mosson. Enfin, pour le troisième homme, Téji Savanier, à l’image du collectif, n’a pas donné le sentiment de vraiment exister malgré un taux de passes réussies très élevé (42 réussis pour 47 tentés). Un match à oublier pour nos atouts offensifs mais sont-ils les seuls fautifs dans cet échec ? Le projet de jeu mis en place, reposant sur les bases habituelles de transition, n’était peut-être pas non plus adapté à la situation.

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