Gilli évoque l’impact physique pour les sélections africaines

Interrogé dans 100% Paillade sur les conséquences physiques des périples en sélection pour les joueurs de Ligue 1 qui jouent pour leur pays africain, Stéphane Gilli a livré un constat implacable. Qui s’applique pour tous les joueurs comme Dolly, Delort et Oyongo.

« L’impact physique est réel. Nous, on a joué au Maroc le Centrafrique, et on a eu un autre match en suivant au Cameroun. Avec le Maroc, on a déjà de la chance puisqu’on voyage dans d’excellentes conditions. Ce qui n’est pas le cas pour tout le monde. A l’entraînement et les trois jours précédents le match, on voit que les joueurs ont des difficultés pour récupérer, pour respirer. A cause de l’humidité, de la chaleur. Il faisait 40-45 degrés à Douala.

Quand ils arrivent en club, ils n’ont pas dormi la veille, c’est compliqué de récupérer et c’est fatigant. On a joué le mardi au Cameroun, on rentre le mercredi à 2h, et il reparte immédiatement dans leur club. Les joueurs enchaînent beaucoup. Je suis en relation avec tous les préparateurs physiques de tous les clubs pour faire des bilans complets avant et après. On essaie de gérer ça. »

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