PARTIE 1: Notez les recrues de l’ère Laurent Nicollin
Les moniteurs d’auto-école ont beau insister dessus, on ne prend pas toujours le temps de regarder dans le retro. D’autant plus lorsque, comme pour le MHSC, ce dernier est bien chargé. Pas vraiment facile de résumer la politique de recrutement des dix dernières années de la Paillade. Il y a d’abord eu les bonnes pioches qui ont mené au titre de 2012 (les Giroud, Estrada, Utaka ou Dernis), puis les moins bonnes, celles de l' »après » symbolisée par l’instabilité au poste de n°9 (Herrera, Charbonnier, Yatabaré, Bérigaud). Depuis le début de la présidence de Laurent Nicollin, le MHSC est rentrée dans d’abord rentrée dans une nouvelle ère : ce fut d’abord un projet sportif sur le long terme et avec de réels investissement sous la houlette de Michel Der Zakarian. Puis depuis, le fiasco médiapro et la crise COVID, c’est encore une nouvelle politique de recrutement qui a été établie à base de joueur libre. Une phase de transition qui vise aussi à amortir le coût du futur stade. A l’orée du mercato hivernal, c’est de cette dernière phase dont on essaie de faire le bilan.
Afin de rendre cela plus digeste, nous avons séquencé les votes par tranche de deux saisons. Cette première partie est réservée aux recrues des saisons 2017-2018 et 2018-2019
Méthode : l’objectif n’est pas de noter les performances des joueurs au MHSC, mais la cellule de recrutement. A ce titre les notes dépendent du montant du transfert ou la renommée et la dynamique du joueur avant d’arriver à Montpellier. Les montants des transferts sont issus des données du site Transfermarkt. Les notes de l’équipe AllezPaillade représente la moyenne des notations de six rédacteurs.
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