Der Zakarian: « Après le match aller, il y a une réponse à avoir de notre part »

La conférence de presse d’avant-match est forcément un bon prétexte pour s’exprimer sur la rencontre du jour. Face aux médias, Michel Der Zakarian décryptait ce match à la Mosson face au FC Nantes et son importance pour acter le maintien des Pailladins en Ligue 1:

« C’est un match important pour nous, pour s’assurer de notre maintien. Cela passe par une victoire contre Nantes. On sait que cela ne sera pas simple, ils restent sur deux victoires à l’extérieur. Je connais Antoine, je sais qu’il va bien préparer son équipe pour nous enquiquiner (sourire). On est encore à la lutte, comme les équipes qui sont derrière nous aujourd’hui. On a encore besoin d’une victoire pour assurer notre place en Ligue 1. On doit bien sur rester concernés, il reste 4 matchs à jouer, il faut les jouer à fond pour grapiller encore des places. On doit en avoir l’ambition. Il n’y a pas d’objectif précis mais déjà, assurons le maintien le plus rapidement possible. Après, continuons de gagne des points. Là, on un groupe au complet, on verra qui démarre, j’ai beaucoup de choix pour mettre l’équipe qu’il faut pour gagner nos matchs.

Au match aller, nous n’avions pas fait ce qu’il faut, nous avions été dominés dans tous les domaines. Il y a une réponse à avoir de notre part. Après, cela reste un match. J’ai beaucoup de respect pour Nantes où j’ai grandi, où j’ai appris le football de haut niveau. J’ai beaucoup de respect pour ce club et ce public mais on ne fera pas de cadeaux. On va se battre pour gagner le match, on a besoin de points et eux aussi, j’espère que ça sera un bon combat. […]« 

Le génie arménien était également interrogé sur ses retrouvailles avec Nicolas Cozza et Florent Mollet. Il s’est montré très bref: « Deux joueurs qui ont fait un bon passage ici à Montpellier dont l’un des deux qui a été formé ici et qui a choisi après de partir en Allemagne. Pour Florent Mollet, il a fait un bon passage, il a fait de belles saisons. C’est un bon joueur technique mais aujourd’hui, nous sommes des adversaires. »