L’arrêt du match n’était pas un luxe

On se doute bien qu’Olivier Dall’Oglio aurait bien voulu que le match se termine. Mais il est tombé plus d’un mois de précipitation en deux heures sur Grammont. Un phénomène climatique violent, un de plus, totalement non prévu, qui a entraîné d’ailleurs quelques fermetures de route et un début d’après-midi chaotique à l’est de Montpellier. Avec une pensée pour les Ruthénois qui ont fait cinq ou six heures de bus, pour ne jouer que 45 minutes.