Der Zak change de fusil d’épaule à l’automne

Et pour l’instant ça marche. Déjà l’an passé à la même époque, c’est Bruno Carotti qui avait poussé l’entraîneur pailladin à passer à une défense à cinq éléments pour stabiliser une équipe qui avait fait un mauvais début de saison. Cette année, ce sont les joueurs eux-mêmes qui ont influencé leur entraîneur en demandant de jouer plus haut. Le nul contre Strasbourg cristallisant énormément de frustrations et d’interrogations. Et si l’an dernier, c’est le nul (0-0) contre Paris (après la victoire à Troyes) qui a été fondateur et qui a démontré qu’en étant bien regroupé à cinq on pouvait réaliser de belles perfs, ce sont les victoires contre Nice et surtout contre Nîmes qui ont montré que les Pailladins devaient être plus offensifs.

Et même Laurent Nicollin mercredi sur RMC a considéré que ses joueurs avaient raison de vouloir jouer plus haut et qu’il avait payé un bon resto à son entraîneur pour que la pilule passe mieux, après cette fameuse réunion.