Der Zak répond au sujet de l’impact des stades presque vides
A la question: les stades presque vides vont-ils atténuer la pression sur les épaules des équipes visiteuses et à niveler la différence entre domicile et extérieur? Michel Der Zakarian reste pour l’instant songeur.
« Je n’en sais rien. C’est sûr que si tu as 25 000 personnes dans le stade, ce n’est pas la même chose, la pression est différente. Il faudra vite s’acclimater à ça pour faire des bons matchs. »
Daniel Congré lui aussi reste aussi plutôt sur la réserve, alors que les résultats en Bundesliga ont démontré un inversement de la balance logique match à domicile – victoire.
« Certains joueurs savent se servir de cette pression du public pour se galvaniser et ce n’est donc pas forcément un avantage. Il faut voir au cas par cas. »
Elément de réponse dès 17h00 et le 12 pour la première à la Mosson.
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