La défense pointée du doigt

On peut toujours reprocher à raison à Casimir Ninga de ne pas concrétiser ses occasions, ou à Giovanni Sio ou à Mbenza d’ailleurs. Mais on doit surtout reconnaître que ce samedi, c’est la défense qui est complètement passée à côté. Et le dernier but symbolise les errances d’une défense à trois, réputée pourtant pour son imperméabilité.

Mais comme à Lille, samedi dernier sur le but de Pepe, les Pailladins prennent l’eau de toute part quand l’adversaire accélère, combine et centre. L’égalisation dijonnaise est un but d’école, collectivement parfaitement maîtrisée mais avec des plots en face et non des joueurs qui défendent bec et ongles leur but. De la passe en profondeur, au décalage sur le côté droit jusqu’au centre en retrait, les Pailladins ont été d’une passivité désarmante.

Alors, oui, nos attaquants auraient du aussi réussir un dernier pressing sur Reynet, oui nos milieux auraient du contenir cette dernière vague, mais le cinq de derrière, avec Hilton en tête, a flanché dans son ensemble. Un scenario qui rappelle les deux égalisations contre Amiens, celle à Angers et tant de points perdus dans la course à l’Europe.

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