La faiblesse du banc de touche

On peut pester sur le coaching frileux de Der Zak, mais l’entraîneur pailladin n’a pas l’embarras du choix sur le banc de touche pour changer le destin d’une rencontre qu’il fallait surtout cadenasser. Ainsi ce soir, les 7 remplaçants étaient Sambia, Cozza, Oyongo, Ligali, Camara, Skuletic et Piriz. Et on ne lui en voudra pas de se gratter les quelques cheveux qui lui restent à l’heure de faire ses choix. Piriz et Camara n’ont pas le niveau, Oyongo transparent à Dijon ne devait sûrement pas être prévu dans les rotations, et devait rester sur le banc. Pas d’urgence en défense donc aucune raison de faire rentrer Cozza. Alors il reste Sambia et Skuletic. C’est peu et c’est très très maigre. Car Skuletic n’est pas du genre feu follet à mettre la zizanie dans une défense et que Sambia manque en ce moment cruellement de percussion. Et ainsi, les changements n’apparaissent pas comme des recours mais des solutions par défaut.

A se demander comme nous en parlions dans la semaine, pourquoi des jeunes pousses ne tapent pas plus souvent à la porte du groupe pro.