Sessegnon, Skhiri, Mbenza nullissimes

Et oui, voilà le Sessegnon version face. Celui qui ne met pas un pied devant l’autre et qui choisit ses matchs. Après la version pile d’octobre, le buteur de Nice, le meneur de jeu aux illuminations contre St Etienne ou Paris, Sessegnon nous offre son pire visage. Un joueur qui ne va jamais de l’avant, beaucoup trop lent, qui tergiverse et qui collectionne les passes en retrait. On savait que le Béninois aimait les caméras de Canal Plus pour briller, on a encore malheureusement la confirmation qu’il n’aime pas l’anonymat du samedi soir.

Un joueur médiocre qui entraîne dans sa nullité du soir, un joueur comme Skhiri qui a lui aussi une grande propension à choisir ses rencontres. Tout comme Mbenza qui a erré sur le terrain sans jamais aligner une course cohérente. Voilà trois joueurs qui mériteraient de faire un passage sur le banc. Juste pour qu’on leur rappelle quelques principes du foot pro.