Vito Hilton: « Capitaine d’une équipe française, c’est un signe »

Dans le Midi Libre, Vito est revenu sur le capitanat. Le brassard est indissociable de sa si longue carrière et démontre son exemplarité.

« J’ai été capitaine à Chapocoense à 19 ans puis à Parana. Mais je ne suis pas attaché au brassard, il y a onze capitaines sur le terrain. Un joueur étranger qui devient capitaine d’une équipe française, c’est un signe. À Lens, le brassard, c’était une façon de me donner les clés de la maison. Tu es chez toi, le club est derrière toi. Beaucoup de capitaines gueulent et s’agitent. Je ne suis pas comme ça. Le respect se crée sur le terrain et dans le jeu. Je suis toujours calme, je parle avec tous. Comme me l’ont appris mes parents, ce n’est pas la peine de crier. Quand on crie, on n’est pas écouté. Mieux vaut parler d’un ton calme et savoir utiliser des mots forts. Le message passe mieux comme ça. »

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