[AP Awards 2018] Top départ

21Comme chaque année, nous vous proposons de voter pour les Allez Paillade Awards avec neuf catégories et bien sûr l’élection du joueur de l’année. Nous vous incitons à justifier votre choix dans les commentaires. Bilan général en fin de semaine. Encore merci à tous de votre participation.

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CATÉGORIES

  1. Meilleur joueur
  2. Joueur le plus décevant
  3. Meilleur match de l’année
  4. Pire match de l’année
  5. L’affaire de l’année
  6. Homme de la saison
  7. Le déception de la saison
  8. La bonne nouvelle de la saison
  9. Le plus beau but de l’année
  10. Le meilleur ancien Pailladin de la saison:

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QUI EST LE MEILLEUR JOUEUR DE LA SAISON ?

Benjamin Lecomte: La recrue phare du mercato pailladin a tenu toute ses promesses. Cela faisait longtemps, bien longtemps que le MHSC n’avait pas eu un dernier rempart aussi rassurant. Le meilleur gardien de Ligue 1 pour L’Equipe a fait une saison pleine.

Ruben Aguilar: Recruté très tôt par les dirigeants, Aguilar est arrivé sur la pointe des pieds. En quelques matchs, il est devenu un titulaire indiscutable côté droit. Une mentalité exemplaire, un joueur qui mort dans la Ligue 1 à pleines dents et qui aujourd’hui fait partie des meilleurs latéraux de notre championnat.

Vitorino Hilton: Il avait fini la saison précédente sur les rotules. La défense à cinq l’a ressuscité. Vito a fait une saison pleine, lui qui ne devait que dépanner. Le Brésilien fait parler de mieux en mieux sa vista et tout son métier dans ses interventions. Il est le maillon principal de la seconde meilleure défense de l’hexagone.

Jérôme Roussillon: Malgré une année 2018 perturbé par des blessures, Roussillon a réalisé une phase aller exceptionnelle. Le meilleur attaquant du club, quasiment, le seul capable bien souvent de mettre une étincelle ou d’être décisif. Comme ce but égalisateur splendide à Lille. Roussillon est fragile, c’est dommage, mais il est le meilleur Pailladin dans le champ pour L’Equipe.

Nordi Mukiele: Après avoir compris le discours de Der Zak, Mukiele a fait lui aussi une saison pleine. Il s’est épanoui dans la défense à cinq et a démontré de grandes qualités de solidité mais aussi de temps en temps quelques belles percées. Recruté à l’hiver 2017, Mukiele progresse continuellement. Malgré un printemps un peu plus laborieux, moins à l’aise quand il est replacé latéral en l’absence d’Aguilar.

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QUI EST LE JOUEUR LE PLUS DÉCEVANT ?

Keagan Dolly: Un an et demi au club et oui déjà, beaucoup de blessures, une préparation tronquée et puis… un geste d’un talent fou à Nantes et une prestation éblouissante ce dimanche là. Quel est le véritable potentiel du Sud-Africain? S’est-il enfin adapter à notre championnat? Réussira-t-il enfin une saison pleine l’an prochain, sans blessure, et avec beaucoup plus de peps et de confiance? Nous l’espérons tous car ses 18 mois à Montpellier reste dans l’ensemble assez décevant.

Jonathan Ikoné: Comprendra-t-il un jour les exigences du foot pro? Ce joueur est sûrement le plus talentueux offensivement de l’effectif mais il est aussi le plus difficile à canaliser. Trois mois en réserve à l’automne, un but splendide à Bordeaux qui, on l’espérait, servait de détonateur. Et puis Ikoné retombe dans ses travers. Des dribbles qui ne servent à rien et un sens du jeu très limité dès qu’il se transforme en soliste médiocre.

Casimir Ninga: Casimir n’a toujours pas digéré sa blessure aux ligaments. Et lui qui fonctionne à l’affect a beaucoup de mal à redevenir le Casimir qui faisait explosait en trois foulées les défenses trop lourdes. Malgré des buts en Coupe de la Ligue et un but en Ligue 1, Nina n’y arrive pas. Il a la volonté, mais pour l’instant il est beaucoup trop limité, maladroit, et rarement dans le bon tempo.

Facundo Piriz: Piriz est d’une grande discrétion sur le terrain. Quelques rares matchs (saison pourrie par les blessures), quelques rares bonnes apparitions. Et le restant du temps, un joueur très direct et peu à l’aise sur le terrain. L’officialisation de son contrat devrait on l’espère, lui permettre de mieux s’épanouir dans notre effectif.

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QUEL EST LE MEILLEUR MATCH ?

MHSC – PSG (0-0): Un vrai exploit. Montpellier est la première équipe à ne pas prendre de but contre les Parisiens, à prendre un point contre eux. 90 minutes d’attaque défense ou presque et un sentiment de solidité et de solidarité retrouvée avec la défense à cinq adoptée la semaine précédente à Troyes.

MHSC – Nice (2-0): Après le show Benjamin Lecomte en première période et un double arrêt devant Balotelli et Plea qui restera dans les mémoires, Montpellier s’impose en seconde période grâce à un magnifique coup de canon de Sessegnon et un but en contre de Mbenza. Un match plaisant face à un adversaire qui n’a jamais refusé le jeu. Un match référence dans le dosage efficacité offensive et solidité défensive.

MHSC – Lorient Coupe (4-3): Un match complètement fou, débridé avec des Pailladins qui reviennent deux fois à la marque et qui s’imposent au final après une seconde période haletante. Tellement rare de voir deux équipes se livraient à ce point sans le moindre calcul.

ASSE – MHSC (0-1): Un match qui restera dans les mémoires puisque ce n’est que la seconde fois dans l’histoire du club que le MHSC s’impose à Geoffroy Guichard. Un but de renard de Mbenza suffisant au bonheur des Pailladins qui font preuve d’une résistance héroïque dans les dix dernières minutes, subissant une pluie de coups-francs dangereux aux abords de la surface.

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QUEL EST LE PIRE MATCH ?

MHSC – Nantes (0-1): Le symbole d’un début de saison où rien ne fonctionne. Après la victoire inaugurale contre Caen, les Pailladins ont énormément de mal à prendre des points. Et la rencontre de Nantes est déjà la troisième défaite d’une saison qui démarre très très mal. Un match sans la moindre occasion ou presque et un coup-franc encaissé dans le dernier quart d’heure, Lecomte anticipant du mauvais côté.

PSG – MHSC (4-0): Montpellier avait tellement réalisé de grandes performances à l’extérieur que l’on pouvait espérer un miracle au Parc des Princes. Les Parisiens à 100% n’ont fait qu’une bouchée des Pailladins. Le MHSC submergé pendant 90 minutes concédant sa première défaite à l’extérieur depuis fin août.

MHSC – Metz (1-3): C’est le symbole de nos carences à la Mosson. Une rencontre pourtant bien embarquée après l’ouverture du score de Roussillon. Mais les Pailladins s’arrêtent de jouer, se font égaliser et pire encaissent encore 2 buts en fin de match. Un joli pied de nez pour Hantz qui remporte un succès qui redonna quelques espoirs aux Messins englués à la dernière place.

Nice – MHSC (1-0): Match capital pour l’Europe et les Pailladins en mode défensif. Ils encaissent un but à l’heure de jeu et n’ont jamais inquiété le gardien adverse. En l’absence de Roussillon et d’Aguilar, l’attaque pailladin est en berne. Une défaite qui fait mal, la seconde de rang après le (3-1) concédé face à Bordeaux.

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QUELLE EST L'AFFAIRE DE L’ANNÉE ?

Le maillot avec un seul L: Le bug de l’été. Les premiers maillots du MHSC sont sortis avec un seul L au niveau de l’écusson. Grosse tempête médiatique et buzz national pour un gros raté au niveau de la fabrication. Les maillots avec un seul L ont vite disparu de la circulation, remplacé par les bons. A noter encore un autre bug niveau maillot. Le maillot hommage à Loulou qui doit arriver à Noël mais qui reste coincé au douane jusqu’à la fin janvier. Pratique comme cadeau sous le sapin.

Les conditions du départ de Jourdren: Son départ était devenu inéluctable. Mais il a fallu y mettre le prix. Pour faire partir son gardien numéro un, Montpellier paie encore le différentiel entre le salaire nancéien et l’ancien salaire pailladin. Jourdren invité à trouver un autre club a forcément rechigné avant de filer en Ligue 2 à Nancy. Laurent Nicollin passant l’été à le pousser dehors et devant mettre la main à la poche pour l’envoyer en Lorraine. Une excellente nouvelle au final tant la cohabitation avec Lecomte apparaissait improbable.

L’arbitrage contre Marseille: « Zitouni, t’es qu’un santon. » Cette phrase prononcée dans le couloir par un officiel pailladin a marqué elle aussi la saison. Elle symbolise cette soirée scandaleuse où M.Schneider accorda un penalty litigieux aux Marseillais avant la pause et refusa surtout le but de Camara dans les ultimes minutes. Avec, Steve Mandanda dans le rôle du conseiller de M.Zitouni venant expliquer au juge assistant qu’Hilton faisait bien action de jeu.

Les penaltys tant attendus et ratés: La vidéo était drôle. Pendant une trêve internationale, Montpellier cherchait sans cesse ce penalty qui n’arrivait pas. Avec en point d’orgue, l’énorme faute sur Lasne non sifflée contre Lyon à la Mosson en seconde période. Et à force de les chercher et de les réclamer, les Pailladins ont trouvé les penaltys, mais les ont raté. Camara contre Bordeaux puis Sio contre Saint Etienne les frappant vraiment beaucoup trop mollement. Et donc plus d’une saison que les Pailladins n’ont pas marqué en Ligue 1 sur penalty.

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QUI EST L'HOMME DE LA SAISON ?

Louis Nicollin: Comment ne pas évoquer la mort de notre président et l’onde d’émotion qui a traversé le foot français début juillet? Louis Nicollin est donc parti le jour de ses 74 ans et a reçu des hommages tant mérités à l’image de ce samedi après-midi où les supporters se sont retrouvés pour chanter du parking des puces vers le stade, ou de la foule massée le jour de ses obsèques, ou de la première journée contre Caen et ce portrait qui ne veut pas s’envoler, ou de cette 74ème minute qui perpétuera pendant longtemps à tous les matchs sa mémoire.

Laurent Nicollin: Il tenait déjà le gouvernail du paquebot pailladin. Mais il a assumé parfaitement et immédiatement la prise définitive de pouvoir. Le choix de l’entraîneur était son choix et la réussite de la saison lui incombe en grande partie. A l’image finalement de cette cellule de recrutement qu’il a monté avec des proches (Carotti, Delaye, Di Fraya) et qui a réalisé une saison plus que satisfaisante.

Michel Der Zakarian: OK, il ne fait pas rêver niveau communication et pas grand monde n’aurait parié fin août après la défaite contre Nantes, que nous jouerions l’Europe jusqu’au bout. Mais Michel Der Zakarian a ramené de l’ordre et de la rigueur dans le club. Il a essayé de mettre au pli les plus jeunes, tirant la quintessence d’un groupe plus limité que l’année précédente et pourtant plus efficace. OK, le jeu produit par les Pailladins a été loin d’atteindre des sommets mais le résultat au final a été plus que satisfaisant.

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QUELLE EST LA DÉCEPTION DE LA SAISON ?

La non qualification européenne: Déception car Montpellier a été dans le top 7 pendant les quatre premiers mois de 2018. Et que les Pailladins ont eu des occasions en or pour s’installer à la cinquième place et prendre des longueurs d’avance sur les poursuivants. Après le manque d’efficacité offensive et les limites de l’effectif n’ont pas permis d’atteindre ce joli rêve. Evanoui contre Troyes, avec une nouvelle contreperformance à la Mosson.

Le nouveau stade qui n’avance pas: Encore une année d’études diverses et de déclarations en pagaille. En juin, nous devrions en savoir plus sur la faisabilité du stade, sur un calendrier beaucoup plus précis, sur une maquette aussi parce que nous ne savons pas à quoi il ressemble. Mais le public ne venant plus à la Mosson, il devient de plus en plus urgent de construire une nouvelle enceinte pour insuffler une nouvelle impulsion à tout un club.

La réserve qui ne monte pas: Dans un championnat uniquement régional (Nouvelle Occitanie) et donc d’un niveau moindre que l’ancienne CFA2, les réservistes pailladins ont souvent eu les occasions pour prendre la tête du championnat et affirmer la volonté de monter en National 2. Malheureusement, dans les derniers mois ils ont été capables de tout, du pire (défaites à domicile contre Nîmes, défaite à Agde) ou du meilleur (victoire (4-0) à Canet). Inquiétant car la réserve forme les joueurs appelés à passer pro.

Le comportement des jeunes (Ikoné, Mbenza…): Jamais un entraîneur ne s’en était autant plaint. MDZ a fustigé constamment le manque de professionnalisme des jeunes joueurs, leur manque d’implication. Faisant descendre en réserve Ikoné pendant de longs mois, recadrant immédiatement Mukiele, mettant sur la touche Mbenza. Des jeunes joueurs qui ne prennent pas en exemple leurs aînés et qui ont du mal encore à saisir toutes les exigences du monde professionnel.

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QUELLE EST LA BONNE NOUVELLE DE LA SAISON ?

La continuité réussie après le décès de Louis Nicollin: On aurait tous signé pour que le club finisse dans les 10 premiers à la mort de Louis Nicollin. Le vide avait l’air abyssal et les premiers résultats d’août laissaient craindre le pire. Mais au final, le club a traversé la saison, sans la moindre crise. A assuré son maintien dès le mois de mars. A retrouvé avec son nouvel entraîneur, des vertus pailladines, de solidarité et de combat. Alors que les précédents exercices depuis le titre avaient été souvent chaotiques.

La qualité du recrutement: Lecomte, Aguilar, Piriz, Sambia. Après Mukiele, Mbenza et Ikoné à l’hiver. La cellule de recrutement a plutôt bien travaillé. Car les plus-values à la revente pour des joueurs comme Lecomte, Aguilar ou Mukiele devraient être importantes et qu’à l’exception de Piriz et d’Ikoné très inconstants, les autres recrues sont toutes devenues des titulaires indiscutables. Un recrutement beaucoup plus étudié que les années précédentes où le club semblait recruter à l’arrache des Vanden Borre, des Mongongu ou des Yatabaré.

Le retour du derby pour l’année prochaine: Il n’y a pas énormément d’occasions d’avoir un peu de monde à la Mosson. Le PSG, l’OM et c’est à peu près tout. Alors, réjouissons-nous de retrouver le derby face aux Nîmois. Voilà deux occasions de vibrer et de montrer que le taulier dans le Languedoc c’est le MHSC. Une rivalité qui va aussi se développer, au niveau des constructions de nouveau stade, tant les deux projets pourraient sortir de terre vers la même période.

Les nombreux joueurs du centre de formation passant pro: Est-ce la preuve que la génération Gambardella 2017 va bientôt éclore en pro? Ou est-ce la volonté farouche de ne pas se faire piquer des jeunes pousses avant la signature d’un premier contrat pro? En tout cas les signatures pros des Vidal, Adouyev, Ammour, Gouache, Kaïboué et le temps de jeu croissant de Cozza, démontrent que le club croit en eux. Faudra-t-il les prêter dès l’an prochain pour qu’il s’aguerrisse façon Cabella à Arles ou Mounié à Nîmes? Ou les plus prometteurs intégreront-ils directement le groupe pro? L’avant-saison sera déterminante pour ces jeunes joueurs qui on l’espère constitueront l’avenir du club.

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QUEL EST LE PLUS BEAU BUT DE L’ANNÉE ?

 

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QUEL EST LE MEILLEUR ANCIEN PAILLADIN DE LA SAISON ?

Morgan Sanson: Il est entrain de devenir un titulaire indiscutable. Sanson est le couteau suisse de l’entrejeu marseillais. Il peut être positionné sur un côté ou il peut évoluer plus bas quand Luiz Gustavo recule. Sanson, toujours aussi discret, fair-play, monte en puissance au fil des mois et glane les bonnes notes dans L’Equipe. Avec en plus une splendide épopée européenne pour sa première saison pleine avec l’OM.

Ryad Boudebouz: Une phase aller très compliquée avec une période d’adaptation indispensable et aussi quelques pépins physiques. Un changement d’entraîneur plus tard, et Boudebouz devient un titulaire indiscutable des Verts et Blancs. Son équipe se qualifiant pour la Ligue Europa et une fin de saison assez prometteuse pour Ryad.

Benjamin Stambouli: Il n’est pas dans l’équipe médiatique du championnat le plus médiatique. Mais titulaire indiscutable à Schalke 04 dans l’axe de la défense, Stambouli a réalisé une saison pleine en Allemagne. Il est qualifié pour la prochaine Ligue des Champions où on espère le retrouver ferrailler avec des clubs français.

Rémy Cabella: Sa carrière était à la relance en arrivant à Saint Etienne. Son prêt a été une réussite. Bénéficiant de l’effet Gasset pour réaliser une excellente phase retour. Redevenant le feu follet qui lui avait ouvert les portes du Mondial 2014 au Brésil. Reste à savoir où il sera l’été prochain. Lui qui avait choisi malencontreusement Newcastle comme porte de sortie au MHSC.

Steve Mounié: Inscrire 7 buts en Premier League, ce n’est peut-être pas l’exploit du siècle. Mais, pour le plus grand transfert de l’histoire du MHSC, les objectifs étaient simplistes. Se maintenir avec Huddersfield et marquer quelques buts pour montrer qu’il avait les capacités pour percer en Angleterre. Pas grand monde n’aurait parié que Mounié marquerait 7 buts et qu’il serait souvent titulaire. Il l’a fait et il a aidé son club à se maintenir. Bravo à lui.

Téji Savanier: Il n’avait pas été conservé à Montpellier après le succès en Gambardella en 2009 et le voilà aux portes de Ligue 1. Le meneur de jeu nîmois a été l’un des grands bonhommes de la montée. 4 buts – 8 passes décisives, il va devoir désormais montrer qu’il a le niveau de la Ligue 1. Et surtout arrêter de collectionner les cartons jaunes ou rouges stupides qui auraient pu pénaliser son équipe dans le sprint final.

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